Foin de l'été qui fut !

Voici le jardin d’Epicure au temps de la splendeur
de l’été.

Lors que, sommes, à présent, rentrés en d’hivernes chaleurs
et rebours calamiteux, qui chiffonnent l’esprit le plus pur :
l’hiver versera son obole, c’est ainsi que les cycles rigolent
entre eux.

Mais foin ! L’été n’est pas mort de papier mais de fait.
Et il est vrai qu’il varie un peu des jours passés : tempêtant,
pleurant des pluies, cyclonant près des Etats-Unis ou ici ou
en Indes (mais les saisons ne sont pas les mêmes).

Rien d’anormal, ce sont nos esprits qui ne sont plus que feux
de paille, fétus, poutres, œil cyclopéen et autres fleurs.