30 septembre 2009
Le monstre-choux
Voici un choux de toute beauté qui ne dissimule rien de ses
nervures, violines et blanches, en branches basses, ou hautes
comme des futaies, elles tranchent l’œil le plus repu, le plus
épris des beautés de ce monde.
Œil aguerri ou inquiet, il se perdra sûrement dans la masse
blanchâtre, au premier plan : ho, ho ! sorte d'acarien géant sorti
d'une imagination... ou bien est-ce cette gentille araignée
d'eau qui s'en vient... ?
Voici un choux, mon choux, n’est-il pas merveilleux ?
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